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La plus grande collection de pubs au monde

Découvrez la plus grande collection de publicités au monde, 125 ans d’archives publicitaires françaises et internationales pour vos projets.

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Véritable mémoire collective de nos modes de consommation, cette Cinémathèque de la Pub est un vivier de connaissances et d’inspiration pour les professionnels du secteur publicitaire, de la culture, des médias, pour les universitaires et les entreprises en quête de leur passé. Notre collection compte plus de films que l’INA, le Musée des arts décoratifs, la Cinémathèque française ou le Forum des images réunis.

1,2 million de publicités de toutes origines géographiques, dont le tout premier film réalisé en 1898 par les frères Lumière, un catalogue de thèmes sans égal pour vos projets.

1300 marques internationales, 1560 marques locales,
 plus de 20 000 km de pellicule…

En contact permanent avec les agences de publicité, les créatifs et les annonceurs du monde entier, nous l’enrichissons chaque année de 10.000 à 25.000 publicités supplémentaires, lesquelles sont visionnées, archivées et au besoin restaurées.

Depuis 42 ans, nous valorisons ce patrimoine publicitaire dans le monde entier à travers un événement très festif : «La Nuit des Publivores®», projection sur écran géant du meilleur de la publicité créative sous un angle cinématographique.

Aujourd’hui l’idée d’une cinémathèque de la pub paraît presque “normale”. Mais lorsqu’à l’aube des années 80, Jean Marie Boursicot décida de donner corps à son rêve, peu de gens se montrèrent enthousiastes. Bizarre, car l’initiative est intéressante: le nombre de films produits par les agences de publicité croît sans cesse sans que personne, nulle part, ne pense à les archiver.

Parmi ces réalisations, se nichent pourtant d’authentiques petits bijoux d’inventivité, des concepts géniaux qu’il est navrant de voir condamnés à l’oubli. Sans oublier qu’au-delà de l’aspect purement artistique de certains films publicitaires, ces productions sont aussi un extraordinaire témoignage sociologique, un reflet culturel d’une époque, des mœurs et modes de vie de chaque pays…

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Nos activités

Notre offre


Une expertise reconnue matière de culture publicitaire
pour vous conseiller dans le choix de publicités pertinentes sur tous les thèmes imaginables.

La conception de montages à partir d’archives originales
en 16mm, 35mm, 70mm, 1 pouce, Beta, UMATIC, BVU, Betacam SP, dont certaines sont déjà immortalisées en 4K avec du matériel de dernière génération. Pas de kinescopage chez nous !

 

Nos réalisations, nos clients


Des télévisions du monde entier.
Nous participons à l’élaboration d’émissions télévisées et de documentaires diffusés sur les 5 continents (Divertissement, compilations de publicités humoristiques, jeux, programmes éducatifs, émissions culturelles sur les modes de consommation à une époque donnée, illustration de documentaires, etc…).

Nous avons travaillé ou collaborons de façon récurrente avec TF1, FRANCE 2, CANAL+, TV5 MONDE, MCM, COMEDIE, TMC, PARIS PREMIERE, RAI3 RAI4 CANAL 5 (Italie), TSR (Suisse), RTBF (Belgique), PROTV (Roumanie), QUATRE SAISONS (Canada), TV AZTECA (Mexique), RTA (Madagascar), FOX TV (USA), NICKELODEON (USA).

Des entreprises pour la réalisation d’historiques de marques.
Une sélection pointue de publicités retraçant fidèlement l’histoire de votre entreprise, de votre marque, offre d’innombrables opportunités en termes de notoriété, de visibilité par le potentiel de viralité et de partage sur les réseaux sociaux, et des retombées à la clé : fidélisation de vos clients, captation de nouveaux marchés, augmentation des ventes…

Nous pouvons facilement rassembler l’historique publicitaire de plus de 150 grandes marques internationales, tous produits confondus. De l’alimentation aux automobiles, des alcools aux vêtements, des parfums et cosmétiques à l’électro-ménager, du mobilier aux cigarettes,… tout est possible.

Des musées, des centres culturels.
Le Centre Pompidou, la Cité des Sciences, Le Palais de Rumine à Lausanne, et d’autres musées font parfois appel à nous dans le cadre d’expositions temporaires. En 2003, Le Musée des Techniques de Vienne (Technisches Museum Wien) a ouvert un espace dédié à notre cinémathèque sur l’histoire de la publicité.

Des universités, des écoles.
La valeur pédagogique de nos archives leur permet d’illustrer des cours souvent suivis de débats.

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Jean Marie Boursicot

L’histoire d’une passion pour le cinéma et la publicité

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Le 4 juin 1953, à Montélimar, naît un bébé dont la mère se prénomme Marie et le père, Jean. Ils l’appellent Jean Marie…. Jean Marie Boursicot, et toute la famille, s’installent à Marseille. A l’âge de dix ans, le petit Jean Marie découvre son premier « trésor » : une affiche 4 x 3 vantant les mérites du carré frais « Gervais ». C’est l’éveil d’un puissant intérêt pour les « réclames », comme on appelait la publicité à cette époque.

Fasciné par le cinéma, Jean Marie hante les salles obscures du quartier des « 5 Avenues » de Marseille où le billet valait 3 Francs. Toujours assis dans les cinq premiers rangs, Jean Marie attend impatiemment la levée du rideau rouge qui cache l’écran et applaudit énergiquement les attractions programmées durant l’entracte. Un soir de noël, ses parents lui offrent un « merveilleux » petit projecteur de cinéma au fonctionnement manuel. Bonheur d’enfant !

L’opérateur du « Ciné Madeleine », qui remarque la présence répétée de cet enfant, sympathise avec lui et lui cède régulièrement des bouts de pellicule de publicité vantant les confiseries comme les bonbons « Krema » ou les glaces « Gervais ». Un embryon de collection est né.

Bien sûr, Jean Marie en veut plus et se retrouve à « faire les poubelles », mais pas n’importe lesquelles. Ce sont celles des distributeurs de films du boulevard Longchamp qui, n’accordant aucune valeur aux bandes-annonces et films publicitaires, s’en débarrassaient systématiquement après emploi.

De «film en aiguille», Jean Marie accumule ses «trésors» et sa collection s’enrichit rapidement où se mêlent sa passion de l’affiche, de la pub et celle du cinéma. Qui pouvait penser alors que ses goûts d’enfant lui donneraient un jour un métier ?

Après ses années lycée à Marseille, Jean Marie décide de poursuivre des études de droit à l’université d’Aix-en-Provence. Ses diplômes obtenus, il pressent très vite qu’il n’est pas fait pour les métiers juridiques. Il choisit alors, sans surprise, de s’orienter vers un emploi dans une agence de publicité. Conseillé par des amis, il monte à Paris et débarque chez « Publicis » en 1978.

Jean Marie rêvait d’un poste de « créatif », il est nommé dans le service commercial en lien direct avec les « budgets–lessive ». Pendant les deux premières années, Jean- Marie constate à nouveau que personne ne conserve les films publicitaires. Ni les annonceurs, ni les agences, ni les producteurs ! Tout est jeté !

Des spots publicitaires, il y a ceux qui les tournent, ceux qui les vendent, ceux qui les diffusent et ceux qui les regardent, Jean Marie Boursicot, lui, les collectionnera.

Son destin est tracé. Jean Marie parcourt le monde, toujours à la recherche de la nouvelle « perle rare » et il décide finalement de monter sa propre Cinémathèque. La « Cinémathèque Jean Marie Boursicot » est créée. A l’origine, Jean Marie Boursicot pensait uniquement orienter l‘activité de sa Cinémathèque vers la préparation aux métiers de la publicité en s’adressant principalement aux Ecoles de commerce et aux établissements professionnels chargés de formation.

Bien accueilli par le milieu de la publicité et soutenu par les plus grandes agences, la « Cinémathèque Jean Marie Boursicot » développe progressivement ses activités. Jean Marie comprend toutefois très rapidement que sans aucune subvention publique ou privée, il est dans l’obligation de trouver de nouvelles ressources financières pour assurer la préservation des fonds d’archives publicitaires et garantir la pérennité de la Cinémathèque et son indépendance.

En 1981, il conçoit ainsi la toute première « Nuit des Publivores », appelée « Friandises », avec deux objectifs : faire partager sa passion et récolter les fonds nécessaires à l’entretien et la restauration des films anciens.

Bref, la « Nuit des Publivores » devient pub et la pub devient spectacle.

Le petit garçon cinéphile est devenu désormais le « gardien du temple » et la mémoire de ce monde de l’éphémère, de la mode et de la créativité.

La « Cinémathèque Jean Marie Boursicot » est aujourd’hui reconnue internationalement comme le plus grand musée vivant de ce secteur particulier du cinéma publicitaire mondial. La belle histoire continue…

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Contact

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Merci de l’intérêt que vous portez à la Cinémathèque de la Pub Jean Marie Boursicot.

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